A venise, on travaille aussi
Vous avez sûrement remarqué que, depuis mes billets sur Venise, je les présente par thème. Alors aujourd'hui, je sors celui des ouvriers de la rue.
A Venise, on tombe facilement sous le charme de ses ruelles, de ses canaux et de ses gondoles. Mais il est un monde qui participe à sa vie et qui est pour moi très important : le monde des transporteurs et des netttoyeurs sans lesquels Venise ne serait pas ce qu'elle est. Vous avez déjà vu, sur l'article des "façades", un restaurateur caché derrière une toile gonflée entre deux pilliers antiques. Aujourd'hui, je vous propose d'autres images des travailleurs vénitiens.
Lui, c'est du poisson qu'il transporte dans de la glace pilée.
Pour une "trattoria" quelques rues plus loin.
Eh oui, pas de voitures, donc obligé de tout tirer à dos d'homme ou sur de petites roulettes.
L'huile d'olive, c'est sacré en Italie.
Les roues du diable sont plus épaisses pour ne pas trop remuer le précieux liquide.
Lui, c'est du Chianti en gros cubis qu'il porte.
Il s'en servira un verre à l'arrivé, avec le patron, pour fêter le voyage.
Bien sûr, il y a aussi les livreurs de fruits et légumes et les passants qui vont au marché.
N'oublions pas le pizzaïolo, qui vient de s'approvisionner en farine.
Ni Adriano, qui nettoie les abords du marché sur le bord du Grand Canal.
Ce dernier a tenu à ce que je le prenne en photo avec mes fistons.
Et il a eu raison, le résultat me plaît bien. Mathieu à gauche et Thomas à droite.